Plan communal de mobilité

Plus de fluidité sur nos routes, une politique de mobilité équilibrée où tant les « usagers actifs » (piétons, cyclistes, enfants, personnes à mobilité réduite,…) que les « usagers passifs » (automobilistes) trouvent leur place… sont les objectifs que Schaerbeek s’efforce de rencontrer tous les jours grâce à la mise en œuvre du « Plan Communal de Mobilité ».

A quoi ça sert ?

Le Plan Communal de Mobilité (PCM) est un outil stratégique qui vise à faciliter la planification de la mobilité à l’échelle de la commune. Son objectif principal est d’améliorer la mobilité et l’accessibilité, la sécurité routière, ainsi que la qualité de vie des habitants, par un usage plus rationnel de l’automobile.

Le PCM rejoint la démarche même du Plan Communal de Développement (PCD). Il traduit la volonté communale de résoudre les problèmes à la source et non seulement dans certains de ses effets.

Comment ça marche ?

Le PCM se décline en 3 phases :

Phase 1 : le diagnostic

Le diagnostic consiste à faire un état des lieux de la mobilité de la commune et à en observer les contraintes et avantages, en tenant compte des spécificités de chaque quartier. Ce premier constat permet de fixer un certain nombre d’objectifs, prioritaires ou non, sur lesquels travailler.

Phase 2 : le choix des aménagements

S’ensuit une réflexion spécifique sur la manière d’atteindre, projet par projet, les objectifs fixés. Il s’agit donc de réfléchir aux différents aménagements nécessaires dans chaque quartier pour améliorer la qualité de vie des riverains, ainsi que la mobilité de chacun.

Phase 3 : le plan d’actions

Le plan d’actions précise :

  • les moyens techniques et financiers à mettre en œuvre pour réaliser chaque projet ;
  • le planning des travaux de manière à les répartir dans le temps.

Où en est-on ?

Le dernier Plan Communal de Mobilité avait été approuvé au Conseil Communal le 9 septembre 2009 et au Gouvernement régional le 29 avril 2010. Il a pu être mis en oeuvre à 85%.

Actuellement, les services communaux attendent le nouveau plan régional de mobilité « Good Move » afin de pouvoir le décliner en un nouveau plan de mobilité au niveau local.